L’ensemble des cours agricoles hésitent sur la place européenne, à l’exception du colza qui profite des révisions à la baisse de la production ukrainienne. ( 2,52 millions de tonnes contre 3,35 l’an passé selon le cabinet Agritel). Sur Euronext, la fermeté de l’euro est toujours de mise, donc plutôt pénalisant pour les cours. Plus que la fermeté de l’euro c’est la faiblesse du dollar américain qu’il faut souligner, la reprise se fait attendre outre-Atlantique. Dans son rapport du 23 juillet 2020, l’IGC (International Grain Council) confirme la baisse de production mondiale en blé et maïs anticipée par l’USDA il y a une dizaine de jours.
Marchés agricoles