L’agence française de sécurité sanitaire des aliments (Anses) vient de publier un avis favorable à l’interdiction du S-métolachlore. Plusieurs associations de producteurs expriment leur inquiétude.
Face aux critiques, l’Anses annonce le retrait du consortium créé pour évaluer la dangerosité du glyphosate dont la réévaluation est prévue en 2022.
À partir du 4 octobre 2018, de nouvelles conditions d’application diffusées par l’Anses au sujet des herbicides à base de prosulfocarbe sont applicables avec effet immédiat. En plus des impératifs exigés l’an passé (utilisation de buses à injection d’air pour éviter les dérives)...
Dans la version finale publiée le 30 mai de son évaluation des risques et bénéfices des produits phytopharmaceutiques à base de néonicotinoïdes et leurs alternatives chimiques et non chimiques, l’Anses confirme l’absence d’alternative non chimique pour lutter contre les ravageurs des parties...
L'Anses a publié le 30 mai son avis sur les bénéfices/risques des néonicotinoïdes (130 usages autorisés des néonicotinoïdes étudiés) et de leurs alternatives chimiques et non chimiques. L'Anses indique que pour une majorité des usages, des alternatives (chimiques et non chimiques)...
Ce jeudi 22 mars, les experts des 28 États membres se retrouvent dans le cadre du comité permanent sur les plantes, les animaux, les denrées alimentaires et aliments pour animaux, afin de trancher sur les néonicotinoïdes.
Encore 2 jours de patience avant de consulter le nouveau site Internet Ephy qui ouvrira ce mercredi 2 mars. Rappelons qu’Ephy n’est plus à jour depuis juillet dernier. Il était donc difficile d’avoir les éléments sur les produits phyto à jour. Après plusieurs mois de travail, l’Anses dévoile ce site.
Parfois décrié par la profession agricole pour ses mises à jour, dépassé en termes d’interface et de technologie, le site e-phy sera refondu par l’Anses, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation et de l'environnement, qui évalue ces produits et délivre les AMM. Un nouveau site...
Le risque de cancer du poumon est plus élevé chez les agriculteurs engagés dans la culture des pois. Ce risque est réduit chez les éleveurs de bovins ou de chevaux pendant plus de vingt ans. C'est ce qui ressort des derniers résultats de l’étude Agrican, présentés lors du colloque de l’Anses sur les expositions professionnelles aux pesticides le 28 octobre dernier.
