Les cours continuent leur remontée. Le pétrole permet de soutenir le colza certes. la baisse de la parité euro/dollar soutient les cours européens, mais cette dynamique de hausse est aussi perceptible à Chicago. La situation de la Russie pourrait être un début d'explication. Les retards quant aux chantiers de semis à cette date risquent de pénaliser la production. L'an passé, le pays connaissait des rendements records, peu probable qu'il réitère cet exploit. Dans son dernier rapport (10 mai), l'USDA prévoyait une récolte de blé russe à 72 millions de tonnnes contre 85 MT l'an passé. FranceAgriMer jugeait ce chiffre d'un peu faible... mais il semble que sur les marchés, il y ait quelques craintes côté russe.
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