À l'occasion du 17e colloque consacré aux orges brassicoles, Aubry Lheritier de Soufflet Négoce estime que compte tenu des stocks disponibles français (1,750 MT pour l'orge d'hiver et 900 000 tonnes pour l'orge de printemps), "le bilan était serré" et qu'avec un ration stock/consommation inférieur à 5% (en orge de printemps) "il ne faudrait pas avoir à faire face à des soucis de production". Mais d'après l'état des lieux au champ, proposé par Luc Pelce d'Arvalis, à la mi avril, toutes les conditions sont réunies pour que le potentiel soit bon.
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