Il n'y a désespérement rien pour venir soutenir les prix, la tonne de blé perdait hier soir 4,5 euros sur l'échéance mars 16, et ce n'est pas beaucoup mieux pour les échéances plus éloignées (future récolte). Sur le marché américain, même constat, depuis 2010, le blé atteint son plus bas niveau. La baisse de l'euro sur les derniers jours aurait pu être un élèment de soutien, mais il n'en est rien. Et du côté du pétrole, même s'il y a eu espoir après que certains aient décidé de geler la production. L'Arabie Saoudite a réaffirmé qu'il n'y aurait pas de baisse de la production.
Marchés agricoles