Les marchés agricoles s’affichaient à la baisse à Chicago et Paris hier après la hausse enregistrée lundi. La fermeté de l’euro face au dollar reste d’actualité, la monnaie unique atteint un plus haut depuis 2 ans. À Chicago, malgré les dégâts causés par la tempête de la semaine dernière, le potentiel des cultures reste bon.
Le colza fait toutefois exception, l’échéance novembre s’appréciait de 4 euros/t à la clôture (à 381,75 euros/t), sans doute porté par l’appréciation des cours de l’huile de palme qui, malgré la pandémie, sont sur un mouvement haussier depuis début mai.