Pour Pierre Begoc, directeur des affaires internationales chez Agritel, il est prématuré de faire des pronostics quant à El Niño « C’est dur à quantifier et à estimer, certes la possibilité d’occurrence est plus grande, on peut s'attendre à un temps plus humide sur l'Asie mineure, plus sec sur l'Australie et l'Océanie mais de là à prévoir un impact sur les cultures... il est trop tôt pour dégager des tendances de fond ». Autrement dit « wait and see ».
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