Si l’irrigation des vignes par des eaux usées traitées est techniquement possible, l’acceptabilité par le consommateur et la rentabilité de ce type de projets sont deux volets à évaluer. Le projet Sopolo, mené dans l’Hérault, apporte des éléments de réponse.
La problématique de l’eau est au centre du changement climatique. Une des solutions au manque d’eau est de réutiliser les eaux usées. Le projet Sopolo1, porté par l’Inrae de 2016 à 2021 et financé par l’Agence de l’eau Rhône-Méditerranée-Corse, visait à étudier la demande en eaux usées traitées (EUT), mais aussi à caractériser les attitudes et perceptions des décideurs, usagers viticulteurs et consommateurs finaux. Il s’est attaché à évaluer l’acceptabilité de ce type de projets, ainsi que sa rentabilité.Dans le cadre du projet Sopolo, plusieurs enquêtes ont été menées dans l’Hérault auprès de différents…
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