Comme pour le développement d’un produit de lutte chimique, les efforts de R&D s’attachent de plus en plus à la formulation des produits de biocontrôle, de façon à améliorer leur durée d’action, leur praticité d’emploi et la régularité de l’efficacité.
Des chercheurs britanniques de l’université de Nottingham et de l’institut Rothamsted ont étudié les interactions sur blé entre un insecte, le puceron de l’épi ("Sitobion avenae") et un champignon phyto-pathogène, la fusariose des épis ("Fusarium graminearum").
La gestion du risque "Aphanomyces euteiches", responsable de la pourriture racinaire en cultures de pois est basée sur le test du même nom, évaluant le potentiel infectieux (PI) du sol.
Le site "Unebetedansmonchamp" (http://unebetedansmonchamp.fr) propose une clé simplifiée pour aider les observateurs à identifier les principaux groupes d’invertébrés présents en grandes cultures, en particulier les auxiliaires.
Outre l’identification, il donne le régime alimentaire (prédateur,...
Le Cetiom propose sur www.regletteazotecolza.fr une nouvelle version de la Réglette azote colza® qui calcule la dose d’azote à apporter au printemps sur colza. Elle intègre les dernières connaissances et prend en compte une gamme plus large de situations.
En Suisse, Agroscope Changins mène des travaux pour trouver des alternatives à l’utilisation des fongicides de synthèse pour lutter contre le champignon Fusarium, et limiter les mycotoxines dans le blé. Les chercheurs se sont tournés vers des substances naturelles qui inhiberaient le champignon.
Les chercheurs américains de l’USDA étudient une nouvelle alternative au désherbage chimique : il s’agit de « mitrailler » les mauvaises herbes avec des petites particules de la taille de grains de sable (environ 0,5mm).
